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De jeunes agriculteurs des Hauts-de-France présentent leurs projets de méthanisation

Deux des associés de la SAS Flandre Biogaz à Bourbourg près de Dunkerque

Ce reportage vidéo sur deux unités de méthanisation construites par agriKomp dans les Hauts-de-France, montre comment des projets de méthanisation sont nés dans l’esprit de jeunes agriculteurs.

Deux des associés de la SAS Flandre Biogaz, située à Bourbourg près de Dunkerque dans le département du Nord, parlent de leur projet d’injection avec un agriPure® 315 avec une mise en service prévue en 2022. La famille Thibaut, quant à elle, pour la SAS Anjou Bio Énergies située à Ailly-sur-Somme dans le département de la Somme, fait le rapprochement entre la naissance de leur enfant et celle de leur projet d’une unité en cogénération sur-mesure Indi de 250 kWél, et qui a été mis en service en janvier 2021.

Les interviews ont été réalisées en août 2020 avec Marie Buisset, Quentin Thibaut, Benjamin Smée et Paul Vanhaecke. Le tournage a eu lieu à la SAS Biogaz de la Bellevue à Haveluy près de Valenciennes. Les quelques images du début de la vidéo montrent quant à elles l’unité MéthaTreil à Machecoul-Saint-Même près de Nantes.

Frédéric Douard

2 réponses
  1. Bonjour Danièle, je vous remercie de votre commentaire et je vous précise, mais vous devez le savoir, que la méthanisation n’est pas réservée aux gros projets.
    Par ailleurs, concernant l’ensilage de cultures principales, son incorporation dans les méthaniseurs est limité à 15% en France, de par les règles liées au tarif d’achat bonifié de l’énergie renouvelable produite.
    Enfin, concernant les éventuelles subventions d’investissement, qui ne sont pas une règle générale, quand elles existent, elles proviennent très souvent de budgets liés à l’énergie, et non à l’agriculture, ce qui pénalise les énergies non renouvelables, ce qui est le but.

  2. danièle grenouilloux gangnolle dit :

    faire de la métha pour mettre dedans du mais ensilage ? c’est plutot une chasse aux subventions et aide ce n’est plus de l’agriculture ils mangent les subventions qui pourrais servir a de vrai agriculteur avec des fermes a taille humaine