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L’IFPEN fait le point sur les carburants alternatifs bas carbone dans le Monde

Consommation mondiale d’énergie dans les transports routiers en 2015. Source IFPEN 2017

La baisse des émissions de CO2 provenant des véhicules routiers est un élément essentiel pour réduire durablement les émissions globales de gaz à effet de serre (GES).  Au niveau mondial, le secteur du transport représente une part de 23 % du total des émissions de GES. En France, la contribution relative de ce secteur est encore plus importante puisqu’il était en 20141 à l’origine de 28,5 % des émissions de GES, le rendant ainsi le plus émetteur, loin devant l’agriculture (17 %) et le résidentiel tertiaire (16 %).

Pour réduire les émissions de GES du secteur du transport, les solutions reposent sur le développement :

  • de nouvelles technologies moteur,
  • de biocarburants,
  • de nouveaux carburants,
  • et d’énergies alternatives non carbonées.

En plus de réduire les émissions de GES, ces solutions offrent d’autres bénéfices tels que :

  • l’amélioration de la qualité de l’air sur le plan local (notamment dans le cas des véhicules électrifiés)
  • la réduction des importations de pétrole.

Pour présenter tous ces aspects, l’IFPEN a publié une synthèse dont le sommaire est le suivant :

  • Historiquement, un lien étroit entre transport et pétrole
  • Une transition énergétique nécessaire pour le transport
  • Les biocarburants : une croissance significative, freinée par un cadre réglementaire encore incertain
  • L’électricité dans le transport : évolution ou révolution ?
  • La filière Power-to-Gas
  • Les e-fuels : le nouvel eldorado ?
  • Conclusion

>> Télécharger la synthèse